Législatives 2012 : Vu dans la Presse
« Un député expérimenté, prêt à l’emploi »
6ème circonscription, nouvelle circonscription, qui va de Maxéville à Jarny en passant par Pont-à-Mousson.
C’est sous un chapiteau dressé au square Sir-Winston-Churchill que Jean-Yves Le Déaut, député sortant, a inauguré sa permanence de campagne, sis à l’angle de la rue Gambetta et du boulevard de Lattre-de-Tassigny à Pont-à-Mousson. « Il n’y aurait pas eu assez de place à l’intérieur », plaisante le parlementaire, heureux de voir quelque cent cinquante personnes rassemblées pour « servir le changement en faveur de la justice, l’économie […] et donner des réponses sur la santé, le travail, la formation et la jeunesse ». « Toutes ces questions qui vont animer les législatives », a précisé Julien Vaillant, suppléant du candidat sortant, conseiller régional et leader de l’opposition au conseil municipal. De nombreux militants PS, sympathisants, et personnalités étaient présents hier matin, et de nombreux élus de la 6 e circonscription. Mathieu Klein, secrétaire fédéral 54 et vice-président du conseil général, a salué le travail « du député expérimenté, prêt à l’emploi », précisant : « Julien Vaillant incarne le renouvellement ». Pour donner une majorité au changement, « pour que les propositions de François Hollande puissent se concrétiser », ajoutait Rachel Thomas, conseiller régional de Chambley, saluant le talent du « papa coq », qui a déjà conduit de très nombreux chantiers sur le territoire. Une majorité que Jean-Pierre Masseret, président du conseil régional souhaite « copieuse, qu’ils puissent se mettre au travail dès le 17 juin avec un contenu politique exigeant dans l’immédiat ». Jean-Yves le Déaut entend défendre les intérêts de son territoire, riche d’une culture industrielle : « C’est en développant l’innovation par la recherche qu’on créera des emplois en France. Par le développement industriel et la création de nouvelles filières ». Et d’ajouter : « Apporter des aides en milieu rural, aux gens qui vivent en dessous du seuil de pauvreté. C’est notre rôle de traiter de ces questions ».
