Notre recours face au Tribunal Administratif de Nancy...
Ce mardi 13 mai 2008, à 10h30, en la présence de nombreux représentants de l'équipe « Maxéville, un nouvel élan » , menés par Christophe Choserot, le commissaire du gouvernement a reconnu très clairement dans ses conclusions que M. Bégorre et son équipe avaient bien fraudé au niveau des élections municipales de mars 2008, notamment en indiquant de fausses adresses pour 2 colistiers, qui habitent toujours à Nancy ... La manoeuvre électorale d'Henri Bégorre et de son équipe est reconnue.
Mais le commissaire du gouvernement s'est cependant déclaré incompétent pour juger si ces fraudes avaient eu, ou non, un impact sur le choix des électeurs le 9 mars dernier. Les conclusions sont assez surprenantes. D’un côté on reconnait la manœuvre électorale mais de l’autre on ne reconnait pas les conséquences. A moins d'un avis contraire qui pourrait être donné par les juges d'ici trois semaines, M. Bégorre et son adjointe à la culture, sont donc confortés dans leur poste, et il n'y aura pas de nouvelles élections. Si c'est comme ça qu'on veut encourager les citoyens à reprendre goût à la vie politique et à participer plus nombreux aux futures élections, c'est mal parti...
Mais la liste « Maxéville, un nouvel élan » ne baissera pas les bras, malgré les espoirs de M. Bégorre qui pensait qu'elle n'existerait plus au lendemain des élections municipales...Nous sommes toujours là et bien là, tous unis, avec notre richesse ( un rassemblement de gauche, mais aussi du centre, de la société civile, de l'écologie...)...avec notre enthousiasme, notre dynamisme, nos idées et notre programme, que nous continuerons à défendre « bec et ongles », par l'intermédiaire de nos 7 élus au Conseil Municipal et de notre Association présidé par Daniel Jacob, qui va proposer de nombreuses activités (réunions à thème, réunions de quartier, rencontres variées, manifestations diverses, familiales, intergénérationelles et festives). Maxévilloises, Maxévillois, vous pouvez compter sur nous .
L’équipe « Maxéville, un nouvel élan »